direction artistique : François Bernard
Cappella Forensis
Les Spectacles
La Cappella Forensis vous propose plusieurs programmes :
Don Procopio est le fruit d'une période bénie de la vie de Bizet. Le jeune prodige vient de remporter le Grand Prix de Rome à l'âge de 19 ans. Initialement composé en italien, la Cappella Forensis en donne la version en français.
Chansons populaires et romantiques
Folksongs de Beethoven - Lieder de Schubert - mélodies de Berlioz - chansons de Béranger
Ce concert, qui puise son inspiration dans les sources populaires du XIXème siècle, tente de ressusciter l'esprit d'une soirée musicale dans un salon romantique.
Barbe-Bleue
Offenbach
Opéra-bouffe
Il s’agit d’une coproduction du Groupe Lyrique de Roanne Simone Ojardias ( GLRSO) et de la Cappella Forensis. Dates de représentation : 16/17 février et 1/2/3 mars 2019 au Théâtre Municipal de Roanne
Béranger,
Chansonnier du romantisme
Béranger, qui chante le peuple et ses rêves, qui observe avec clairvoyance le ballet de ses contemporains, est sans conteste le roi des chansonniers de la première moitié du XIXème siècle.
Un beau programme de musique sacrée : le premier Cantique Spirituel de Jean Racine mis en musique par Pascal Colasse, un extrait du semi-opéra The Fairy Quenne de Purcel "O, let me weep" et le Stabat Mater de Giovanni Battista Pergolèse.
Initialement destiné à un ténor accompagné par un piano, le Winterreise est ici interprété par un baryton accompagné de quatre violons et quatre violoncelles.
Le concert est consacré aux musiques inspirées à Berlioz par la sensualité frémissante des nuits d'été. Il propose une nouvelle version des Nuits d'été, à mi-chemin entre la version originale pour chant et piano et la version orchestrée.
La Maîtrise de la Cathédrale du Puy-en-Velay et la Cappella Forensis poursuivent leur collaboration de 2014, autour d'un programme consacré à la musique française sacrée de la fin du XIXème siècle, éclairée par la chaleureuse et douce lumière de Noël.
Cantates d'un matin de Pâques
Bach, Mendelssohn
A l'origine du spectacle est l'idée du paysage. Le paysage, et, tout de suite, deux œuvres qui, à cette évocation, me viennent à l'esprit, et qui, l'une musicale, l'autre littéraire, portent une vision comparable du paysage, à la fois intime et épique, descriptive et sublimée, naturaliste et humaniste : ce sont « le jardin féerique », des Contes de ma Mère l'oye de Maurice Ravel, et l'Homme qui plantait des arbres, de Jean Giono.
Malgré le siècle de distance qui les sépare, dans le domaine de la musique sacrée, BACH et MENDELSSOHN peuvent à bon droit faire figure de père et de fils l'un pour l'autre.